Pendant mes vacances de septembre, je n’ai pas voyagé. J’ai décidé de rester chez moi. Mais ce n’est pas pour autant que ce furent de mauvaises vacances. En effet, il n’y a pas toujours besoin de partir à l’autre bout du monde pour être heureux.
D’abord, j’ai pris du temps pour moi, pour mon bien-être. Je suis allé chez le coiffeur pour une nouvelle coupe : un geste simple qui me fait beaucoup de bien désormais. Ensuite, j’ai profité d’un massage dans mon salon préféré : détente, repos, lâcher-prise… un vrai bonheur.
Côté sport, j’ai choisi de bouger uniquement pour moi : pas de compétition, pas de groupe, juste un peu de musculation à la maison et de petits footings selon mes envies. Par ailleurs, j’ai aussi cuisiné : lasagnes maison, desserts, mousse au chocolat… Découvrir de nouvelles recettes et se faire plaisir, parce que les vacances, c’est aussi ça.
En parallèle, j’ai pris davantage de temps pour travailler sur mon enfant intérieur, mes blessures et mes progrès. J’ai écrit des lettres à mon moi intérieur, à ma future rencontre, à ma future femme. Ces exercices m’ont fait énormément de bien. Ils m’aident à vivre une vie plus sereine, plus apaisée, plus alignée avec moi-même. Finalement, je n’ai pas besoin de la validation des autres pour savoir que je suis sur le bon chemin. Travailler sur soi, c’est s’aimer dans le passé, le présent et le futur. C’est accepter ses failles, reconnaître ses qualités, et avancer.
De plus, j’ai pris le temps de pratiquer mes passions. Tous les jours, j’ai joué du piano, repris mes morceaux préférés sans pression, improvisé, laissé libre cours à mon imagination. J’ai aussi lu, feuilleté mes magazines de psychologie aux sujets captivants : les relations fraternelles, les bienfaits des week-ends en amoureux… Enfin, j’ai écouté des podcasts inspirants, juste assis dans mon fauteuil, sans rien faire d’autre, me laissant porter par des voix qui parlaient d’amour de soi, de validation, de relations et de récits de vie.
Par ailleurs, pendant ces deux semaines, j’ai fait une pause des réseaux sociaux. Pas de publications, pas de scroll infini. Et quel bien-être ! Cette coupure m’a ressourcé, inspiré, donné envie d’écrire de nouveaux poèmes et de nouvelles histoires. La créativité a aussi le droit à une pause pour revenir plus forte, plus vivante. J’ai pris le temps de vivre ma vie sans la partager. Uniquement pour moi.
En outre, j’ai profité du beau temps pour me balader chaque jour, même une trentaine de minutes. Observer les arbres au rythme du vent, écouter les oiseaux, croiser les passants, recevoir un simple bonjour timide. Être en harmonie avec moi-même et la nature.
Et puis, j’ai aussi appris de nouvelles choses : j’ai intensifié mes leçons d’anglais, écrit quelques textes simples. J’ai continué mon développement personnel, avec des livres, des livres audio, des réflexions. Toujours apprendre, toujours grandir.
En conclusion, ces vacances passées à la maison m’ont offert ce dont j’avais réellement besoin : me ressourcer, ralentir, savourer. Prendre le temps de manger, d’écouter, de regarder, de penser, d’écrire. Découvrir un monde qu’au quotidien je néglige. Finalement, les vacances servent aussi à ça : ralentir pour mieux revenir.
By Salocin
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